Joris Bertrand-Demanes ou ma carrière oubliée
Une nouvelle saison.
Chapitre I
J’ ai repris le chemin de l’ entrainement en ce 1er juillet.
Je n’ai toujours pas d’ offre concrète et je me demande si Everton serait un bon choix. Mon Grand-père dit qu’il faut être patient.
Oui, mais combien de temps?
Nous allons de nouveau faire un tournoi européen. Je ne suis pas aligné. Comme si le coach ne comptait plus sur moi. C’est un peu dommage, mais je l’ai voulu.
Le 3 juillet, je reçois un Texto: rendez-vous dans le bureau du président.
Le coach et le président était la souriants. Ils m’ont remercié pour la saison écoulée et m’ont annoncé la nouvelle
Le FC Liverpool voulait m’intégrer dans son effectif.
Quelle surprise et quel honneur. Le club est attirant. Je n’ai que 21 ans.
Le lendemain, je partais pour Liverpool pour le premier contact. Il y avait Jürgen Klopp et Tom Werner le président.
Apres m’avoir présenté le club et sa philosophie, le président a donné la parole a Jürgen Klopp
Apres avoir loué mes exploits de l’année passée, ses objectifs sont clairs.
Nous devons passer le tour de barrage de la ligue des Champions , aller en 1/8 eme et finir dans les quatre premiers du championnat. La FA Cup reste un bonus.
D’un point de vue personnel, il veut faire de moi, un titulaire à part entière, il est sûr de mes capacités.
De plus il veut me donner la possibilité de grandir sportivement.
Mon salaire est évidement plus conséquent et je sais qu’ils vont débourser 47 millions d’€ pour le transfert.
Je valais 1.8 Mio. à mes débuts: Une aubaine pour Nîmes.
Le lendemain, je suis retourné signer mon contrat en présence du président et du coach.
Je ne regrette pas mon choix. J’ai peut être mis la barre haute et Liverpool pourrait me permettre de faire grimper ma valeur au niveau européen. Je suis vraiment heureux.
Le soir, Papet avait organisé une fête (on était deux) Il m’a annoncé qu’il ne me suivrait pas dans l’aventure.
Je comprends car maintenant c’est le moment de devenir en un peu plus grand.
Je suis maintenant dans la plus dur ligue d’Europe à cause de ses matches très nombreux, d’une concurrence au sein des clubs très violente, d’une pression sportive omniprésente et d’une presse dotées de journaliste virulents.
Bref, ce n’est pas du cheesecake