Saison 3 - J1 - groupe B
WaP Phoenix vs Fantapes
Résultats: 0-0 et 0-0
Lundi matin reprise des cours
On débute cette nouvelle année avec de nouvelles ambitions, un recrutement intelligent, un nouveau statut de prétendant et des nouvelles sapes en mode beau gosse signé Coco Chanmél en partenariat avec Adidas; Mais on s’est levé du mauvais pied.
Dès le matin on tombe sur madame Fanta la prof de marketing, qui en plus d’avoir la réputation de coller des bulles aux intéros, nous a saoulé direct avec ses histoires projection offensive déréglementée et de pression accentuée sur le bailleur.
A la fin des cours on est allé au city stade pour décompresser, enfin pas tant que ça.
On a joué contre des italiens et les mecs ils rigolaient pas. On a compris que ça allait être la guerre cette année, même en étant plus grands que nous ils y allaient pour nous piétiner dans les duels !
En plus dès le début on perd Xl en défense, alors du-coup on a fait comme on a pu. Il faut dire qu’en plus d’être nerveux, on a du se réadapter en défense pour compenser. Ensuite on était plus en place pour tenir le ballon et aller de l’avant.
Au final on s’en est bien sorti avec deux matchs nuls, sans concéder de but, mais sans en marquer non plus.
Il faudra qu’on joue notre football la prochaine fois, mais le contexte de la compétition (mauvaises connexions climatiques notamment) fait que c’est pas facile.
Mais on a compris qu’il fallait équilibrer et jouer autant dans l’axe que sur le côtés (ces derniers étant trop utilisés). Il faut par ailleurs plus de combinaisons entre les milieux eux mêmes ce qu’on oubliait de faire assez souvent.
L’homme du match dans le match:
Le roc défensif, l’anticipateur, celui qui jaillit de l’obscurité pour fermer la marche avec sa torche qui nous rassure. Torcher les autres et accepter se faire torcher c’est sa force. Un homme de groupe et de victoires, le diplomate qui colmate.
Cet homme là aura bien mérité son surnom d’homme de l’ombre, vu qu’à la 20ème minute, prétextant des connexions climatiques, il est rentré chez lui regarder la fin du match à la télé. Alors qu’en voyant le jeu des italiens, il avait très bien compris que les matchs ne valaient pas la peine d’être joués.